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BILAN 24h ESSEC 2014

Pour la version 2014 de l'ESSEC, l'équipe de l'ENSMA Kart étaient constituées de 10 pilotes pour un karting regroupant des A1, A2 et A3 de l'ENSMA. Ceux-ci ont été selectionnés en fonction de leurs performances et leur assiduité lors des sessions organisées par le club.  Vous découvrirez le fil de la course dans l'article ci-dessous qui est issu de textes écrits par les membres du club ayant participé à la course. L'article final à été écrit par Laétitia Marc l'ancienne trésorière du club.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comme un lendemain de cuite

Les 24 heures karting de l’ESSEC

 

            « Comme un lendemain de cuite », a annoncé Arthur Pilavoine, que l’on surnomme Pipi, l’un de nos précieux A3 désintégré quelques semaines avant la course, en guise de retour sur ces vingt-quatre heures. Et en tant qu’A3, il sait sûrement de quoi il parle, alors nous allons vous relater ce qui rend ces vingt-quatre heures de karting si spéciales.

           

             « Selon moi les 24h durent 48h et c'est ça qui fait tout leur charme. ». Le départ de la course était donné le samedi 10 mai 2014 à 14 heures, et pourtant c’est dès le vendredi – voir plus tôt encore – que la frénésie de ce week end prend l’équipe aux tripes : « Avant même le départ pour Paris, j'étais impatient et je savais que j'allais passer un weekend inoubliable. », « La route a été looooooongue. Comment pourrait-elle ne pas l’être avec 24 heures de course au bout ? Du coup avec Zalou on a fait les idiots pour passer le temps » nous révèlent respectivement le futur président Kévin Ignatowicz, alias Kev, et l’actuel président Frédéric Gantois, autrement dit Lockï.

 

            « Une fois sur place […] on voit tout de suite qu'ici on n’est pas là pour jouer aux billes. » affirme Bertrand Aubert, ou Bébert, en ce qui concerne notre arrivée sur le circuit le samedi matin à 8 heures. Les vingt quatre heures commencent par la prise de possession de notre stand, numéro 17, et par un accueil de l’équipe RACE ESSEC afin de nous distribuer notre « nécessaire de survie : welcome pack, T-shirt, casques et surtout les combinaisons et le numéro du kart : nous portons le numéro 23. ». Et nous en aurons eu besoin, de ces combinaisons ! Puisqu’alors même que se déroule le briefing du directeur de piste, le déluge se met à tomber au dehors.

 

            « Vient ensuite le début des qualifications, il pleut toujours et sur la piste ça glisse. » Des qualifications débutées sur piste trempée, ce qui a nécessité un remaniement de la stratégie de qualification – et nous pouvons dès maintenant féliciter le team manager Lockï, pour sa préparation des plans de course qui ont permis de remanier facilement et clairement les relais. Le voici donc relatant les décisions prises pour ces qualifications : « La décision est prise : je prendrais le départ des qualifs. Le briefing se termine, il est temps de se préparer, de m’installer et de penser à ce leitmotiv’ : Keep calm, rain is coming. ». « Sous la pluie je prends la piste pour la première fois. Enormément de sous-virage et de patinage. », les premiers pilotes ont bénéficié de trois tours chronométrés : « 3 tours de galère et de bataille pour réussir à garder le karting sur la piste, impossible de prendre des repères, j’ai juste le temps de mettre mon kart dans le bac à graviers et d’apprendre à l’en sortir ! » explique Antoine Gogué – Zalou. Les suivants ont eu un tour chronométré : « Un tour dont je serais toujours fière, puisqu’il demandait une telle subtilité dans le pilotage, l’application du frein et de l’accélérateur pour lesquels il ne fallait jamais mettre pédale au plancher si l’on veut éviter les tête-à-queue. », tout ceci afin de permettre aux meilleurs pilotes d’avoir plus de temps en piste pour viser la Q2. Nous avons cependant été mis à la porte de cette Q2 après avoir eu l’occasion d’en rêver et de la toucher du doigt, mais toute l’équipe était globalement ravie de ces qualifications : « Au final, on part 25ème, pas mal par rapport à l’année passée. » nous rapporte Brice Delaporte.

 

            « A 14h, c'est le départ pour 24h. C'est moi qui ai été désigné pour prendre le départ, encore sur piste mouillée. » relate Kev. Du point de vue de ses coéquipiers, le départ a été une véritable injection d’adrénaline : « Kev part en furie et remonte petit à petit », « il pointe rapidement à la 19ème place sous la pluie. La course s’annonce bien, une petite erreur plus tard et on descend 26ème. » La course est lancée, ces vingt-quatre heures sont enfin concrètes pour nous qui les attendions avec tant d’impatience ! C’est Clément Coras, ou Ginette, notre deuxième A3 national, qui prend le relai d’un Kev trempé jusqu’aux os : « Je n’étais pas forcément serein mais quand faut y aller… Du coup, plutôt que de faire comme l’an dernier et d’attaquer comme un damné sous des conditions piégeuses, j’ai adopté une stratégie conservatrice : objectif= pas de sortie de route. Et ça a marché !! Pas une incursion dans le bac à sable. » Sa stratégie a si bien porté ses fruits que Ginette nous a fait remonter P22 en très peu de temps ! Un état d’esprit qui ne s’applique pas à tout le monde, puisque le relai suivant, pris par Lockï, était tout à l’attaque : « Je pars en attaquant comme un damné, je me sors dans le virage 11, petite toupie… Encore une fois au mauvais moment, de retour sur la piste en ayant perdu une place et bien décidé à faire oublier cela. La piste sèche, les chronos tombent. Je rattrape mon retard, je monte sur tous les vibreurs comme à mon habitude j’utilise toute la largeur de la piste. », c’est un battant, notre team manager, mais on l’aime bien, alors on laisse faire ! Et puis, quand il nous fait gagner deux nouvelles places avec ses attaques, on pourrait presque lui pardonner. La course semble donc annoncer maintenant une période de sec, et Brice prend le relai, pour rencontrer une petite surprise : « Je prends le relai vers 16h30, à peine le temps de faire un tour qu’une violente averse s’abat. Tout de suite le quad de sécurité sort sous drapeau jaune pour mener la course à faible allure pendant 10 à 15 tours. » Tout ce que les commissaires ont attendu, c’est que ce cataclysme se calme un peu pour relancer la course, dans des conditions bien plus humides que l’équipe avait pu expérimenter pendant les qualifs ! Et pourtant, il est possible de très bien se débrouiller sous la pluie : « Ce qui m’a surtout frappé, ce sont les leaders de la course qui doublent à l’intérieur même sous la pluie et nous mettent 8 secondes au tour. ». La pluie s’arrête, la piste sèche relai après relai, et le spectacle continue !

 

            « Vers 21h15, c'est encore à moi,  mais sous un beau soleil couchant cette fois-ci. C'est en améliorant sans cesse le meilleur tour de l'ENSMA'KART que je réussis à grappiller des positions, et nous sommes 21è lorsque je passe le relai à Zalou. Je peux alors me reposer car mon relai suivant est à 5h18. Cela me laisse le temps de passer à l'hôtel (luxueux !) pour me ressourcer un peu. » C’est donc Kev et Antoine Delicourt qui ont les premiers eu l’occasion de profiter de l’hôtel réservé par RACE ESSEC, un hôtel quatre étoiles luxueux dans lequel nous disposions d’un appartement comprenant 4 couchages. La nuit est donc tombée, et une des parties les plus intéressantes de ces vingt-quatre heures vient de débuter : le pilotage de nuit ! « Les tours s’enchainent, des karts plus rapides me doublent sans cesse mais je double plusieurs retardataires. Les sensations sont géniales tout comme le karting et la piste. Je découvre également que certains pilotes ont un très bon esprit et sont très respectueux sur la piste » raconte Zalou, et en citant ses premiers mots au sortir du kart, alors qu’il passait le relai à Antoine : « c’était GENIAL ! Je veux y retourner ! ». Antoine est donc parti pour un relai d’une durée de cinquante minutes : « Dès le départ j’attaque le plus possible en améliorant mes trajectoires. Mes temps tombent tour à tour et je réduis notre retard sur les karts de devant. Malgré le temps écoulé, je me sens toujours en forme, comme si je pouvais refaire le même relai dans la foulée. » La nuit s’avance, et c’est à deux heures du matin que moi, Laetitia Marc – alias Laet’Slide – la seule fille de l’équipe, prends mon premier relai ! « Il y a eu des dépassements, quelques erreurs qui m’ont fait monter le sang à la tête, et pourtant tout s’est passé dans un calme étrange. La musique de mon Ipod pulsant dans mes oreilles, je pouvais entendre les moteurs autour de moi  très étouffés, comme s’ils venaient de loin alors qu’ils étaient à côté, et qu’un me suivait constamment : c’était le mien ! », c’est en réécoutant la playlist qui me passait dans les oreilles que je repense à mon relai, et tout ce qui me vient à l’esprit, c’est que « piloter un kart est extraordinaire. Se retrouver braquée à fond à droite pour prendre un virage à gauche est tout à fait irréel et insolite. Mais le mieux, le plus magique, c’est le pilotage de nuit. Les sens sont forcés de se réveiller d’un coup, tous les repères changent alors qu’on voit les formes plus tard, il est impératif d’être prêt à anticiper ce qui arrive lorsqu’on ne le voit pas. Et l’éclairage qui baigne en orange la piste autrement noire d’encre. […] Je retiendrais ce relai, cette découverte, comme la plus belle que j’aie faite jusqu’alors, puisqu’elle sera quasi impossible à reproduire, et que je découvrais cette piste inconnue mètre par mètre, la nuit me refusant de voir au bout des lignes droites ! ». C’est en titubant, mon pied droit totalement inutilisable, que je cède le kart à notre Magic Pipi qui est resté disponible sur le circuit pendant les vingt-quatre heures de la course : « [mon relai] a débuté par une nuit 22h-2h30 sur la banquette de la Civic... C'est peut-être idiot au vu du confort de la chambre d'hôtel qui nous était allouée, mais j'aime rester disponible aux abords du circuit. Et cela dit, cette nuit fut bien plus réparatrice que prévue. Premier relai à 3h20. Premier souci : temps sec. Quand je suis au volant, c'est un souci pour moi. Second souci : avertissement contact au bout de 5 minutes de la part de la direction de course parce qu'un débutant a pilé sous mon nez au beau milieu d'une zone de pleine charge ; avertissement que j'ai interprété comme une pénalité de passage par les stands. ». Cette inattention a servi à réveiller notre stand, et sous les instructions de Lockï, Kev et Pipi – une fois revenu de son relai – se sont appliqués à remettre à jour le planning de course afin de rectifier ce passage au stand « gratuit ». C’est en rendant le kart à Cyril Brunon pour son deuxième relai que Pipi apprend son erreur, et peut préparer les modifications : il décalera son relai du dimanche matin et le fusionnera avec son dernier relai : de la pluie est prévue à ce moment-là, alors que l’on préfère laisser le temps sec au reste de l’équipe. Cyril, lui, part serein, quoique un peu déçu par la sècheresse de la piste – c’est le Poitou qui nous fait aimer l’humidité : « le réveil est assez difficile, le ciel est dégagé et la météo n’annonce pas d’orage pour la nuit … dommage, moi qui aurais bien essayé un relai sur piste humide. Mon relai n’est finalement pas si différent du premier. Je suis assez régulier bien que cette fois-ci le tracé de la course m’est déjà familier. » La fin du relai de Cyril marque les quinze heures de course bien lancées, la fin commence déjà à se faire sentir, alors que le soleil ne va pas tarder à pointer le bout de ses rayons.

 

            « On attend la navette au pied de l’hôtel pour nous ramener au circuit mais des pilotes d'une autre équipe se proposent de nous emmener, nous acceptons. C'est ça aussi les 24h : le fair-play dans et en dehors de la course. » raconte Bébert alors qu’il se prépare pour son relai de jour maintenant : « Je prends mes marques sur les deux ou trois premiers tours. Les chronos descendent petit à petit mais je ne parviens pas à faire des temps vraiment satisfaisants selon moi. J'avais pris le relai 25eme et je ne voudrais pas le rendre à une autre place ! Je donne tout, je ne fais pas de grosses erreurs et je suis plutôt régulier. » Et il faut noter qu’aussi bons que soient les meilleurs temps, c’est la régularité qui importe sur une course aussi longue, et c’est là-dessus que nous avions appuyé, afin d’être classés honorablement. Zalou prend la suite de Bébert, c’est maintenant les derniers relais de tout le monde, la fin de la course approche à grands pas : « La fatigue est là, les nuits courtent s’enchainent. Mais une fois dans le karting, l’adrénaline reprend ses droits et le plaisir est de retour. Je continue de rattraper ceux dont je suis capable et je tache de ne pas faire d’erreur. » A quatre heures de la fin de la course, Lockï part en piste, espérant que la pluie commence à tomber – c’est un de nos meilleurs pilotes sous conditions changeantes : « C’est partit pour mon troisième et dernier relai. Je le savoure plus qu’aucun autre, je suis parti pour 1h. Au bout de quelques tours, j’aperçois des microgouttes sur ma visière, la météo se serait-elle trompée ? Tant pis je continu mon attaque, au pire j’aviserais quand je serais en perdition. Les tours s’enchainent, je n’ai perdu qu’une seconde avec le gras mouillé qui arrive, tout va bien. » Lockï relate qu’au passage du panneau 23, il s’est accroché comme il pouvait à son dernier tour de ces vingt-quatre heures : « C’est fini, dans 1200m ma part des 24h sera terminée. Je profite des derniers dépassements, des dernières glisses, des dernières accélérations. Je plonge à la méca, je fais le plein. Retour au ralentis, il faut savourer cela jusqu’à la fin… Je m’arrête, je saute hors du kart. C’est terminé. » Pour Lockï, en effet, mais il reste encore moins de trois heures de course, et mon relai a été avancé pour offrir la pluie à Pipi : « Mon relai débute, le temps est sec, et je me sens détachée de tout dans le kart. Contrairement à mon premier relai, je suis beaucoup plus confiante, j’ai revu des points de trajectoire avant mon relai, et je sais où je peux m’améliorer. Et le mieux, c’est que j’ai à peine besoin d’y réfléchir ! J’ai attaqué dès mon tour de sortie des stands, plus prête que jamais à appliquer ce que j’avais appris, ce dont je me souvenais de la nuit dernière, et en deux tours, je n’avais plus besoin de m’appliquer à rien d’autre qu’à rattraper le kart de devant. Tour après tour après tour, j’ai l’impression de m’être envolée en début de relai, et de ne plus pouvoir atterrir ! ». C’est alors que la météo – toujours facétieuse – décide de nous jouer un tour, et la pluie s’annonce plus tôt : « Je sors d’une courbe en glissant légèrement, je remarque les gouttes glissant sur ma visière, j’approche de la chicane droite-gauche… Et c’est le tête-à-queue. Mon kart part dans l’herbe, traverse et s’arrête dans les graviers, les quatre roues bien enfoncées. […]La file de karts partie, je sors du mien pour le remettre en piste. Mais un kart plein de graviers, c’est lourd, et je m’échine à le soulever, à le tirer vers l’herbe où je sais être capable de le pousser, tout en voyant les karts passer, en bloc ou un par un. Il ne reste plus qu’une roue de coincée dans les graviers, un commissaire vient m’aider, replace le kart sur le bord de la piste, et dès que celle-ci est libre, je repars, précautionneusement avec mes roues boueuses. ». Comme on l’avait convenu, je devais céder la place à l’arrivée de la pluie si je ne me sentais pas confortable dessus. J’aurais bien tenté de continuer, mais les cent vingt kilos du kart m’avaient un peu calmée, et j’ai donc fais signe à mes coéquipiers que je rentrais après un tour : « Tous les efforts que j’ai fournis pour sortir du bac m’ont vidée, je n’ai presque plus la force de tourner le volant, et j’amène mon kart comme je peux au ravitaillement avant de le céder au maître de la pluie. ». Pipi se baladait dans les stands pendant ma sortie, et n’avait pas anticipé mon retour, mais fort heureusement, l’équipe était au complet pour le trouver avant que je ne rentre : « 11h30, c'est la douche ! Laet’Slide se jette dans les stands, fait le plein, pendant qu'on me crie "Elle rentre, prépare-toi !". Combi, casque, gants, et c'est parti ! Piste détrempée, tout-droit au second virage, je m'en sors de justesse en écrasant l'accélérateur avant le bac à sable pour passer au-delà et rejoindre la piste plus loin... Mis à part une ou deux sorties larges, ce sera ma seule erreur du relai. J'ai adoré sous la pluie. En glisse partout, à tourner autour des adversaires en perdition, c'est génial. » Mais la météo n’en avait pas fini avec nous, et la pluie s’est arrêtée très vite, forçant la fin de la course à se dérouler sur le sec ! « J'appréhendais la piste séchante, mais ça s'est passé à merveille, les autres n'osant pas se jeter à l'extérieur, là où la piste séchait le plus vite. La dernière heure fut sur le sec, et c'était à mon tour de me faire tourner autour... Panneau "1 tour restant", drapeau à damier, ouf ! 2h26 de relai, ça fatigue. J'avais aussi soif que mon kart, qui a fini la course sur la réserve ! On finit 27e. On a battu Centrale et ESTP, c'est déjà ça ! »

 

            Et c’est maintenant, le dimanche 11 mai 2014 à 14h30, lorsque la parade des karts est achevée et que nous avons accès à la piste que nous nous rendons compte que ces vingt quatre heures sont terminées. On récupère un Pipi qui tient à peine debout – on le laisse se reposer en posant direct dans le kart pour notre photo de groupe, et on repense tous à ce Week End de folie :

            « Personnellement, j’ai tout donné sur mes relais. Et ce qui fait la force de notre résultat de cette année, c’est que tout le monde dans l’équipe en a fait de même ! » - Ginette

 

            « J’ai toujours en tête les bagarres en piste, les coudes à coudes dans des épingles ou des virages rapides, les pilotes qui perdent le contrôle juste devant nous, le tout sous la pluie. Vivement l’année prochaine pour y retourner et améliorer notre résultat à l’aide de l’expérience acquise cette année. » - Antoine

 

            « Pour ma part en tout cas ce fut un excellent week-end passé en compagnie d'une équipe formidable que j'ai pu découvrir encore un peu plus. Après tant d'adrénaline, difficile de ne pas s'endormir dans la voiture qui nous ramène à Chassou. Je suis bien content de ne pas avoir à conduire ! » - Bébert

 

            « Bref, c’était un week-end génial, avec cette équipe qui regroupe déjà jeunes et anciens. On en rentre en luttant contre le sommeil dans la voiture mais en repensant à cette course qui, il faut le dire était très bien organisée par RACE ESSEC mais aussi le bureau de l’ENSMA’Kart. » - Brice

 

            « Rétrospectivement ce week-end aura été une très bonne expérience. Je suis très heureux d’avoir pu participer à l’événement avec les autres membres du club et j’espère que nous aurons l’opportunité d’y participer de nouveau. » - Cyril

 

            « Ce fût de tout point de vue un weekend vraiment mémorable, avec des souvenirs gravés à jamais. Je remercie l'ENSMA'Kart, l'ENSMA, RACE ESSEC ainsi que tous nos partenaires, sans qui rien n'aurait été possible. » - Kev

 

            « C’était tout simplement génial et je suis impatient d’y retourner l’année prochaine. […] Il ne faut pas oublier de remercier le bureau composé de Lockï et Laet’Slide qui se sont battus pour que nous puissions participer à cette course, tous nos sponsors sans qui cela aurait été impossible, les équipes de RACE ESSEC et du RKC qui nous ont encadrés et qui ont tout organisé et surtout l’ENSMA et tous les étudiants de l’école qui nous ont soutenus sans oublier les anciens de l’ENSMAIR qui sur la route du rallye des anciens qui fut finalement annulé se sont retrouvés à l’abri de la pluie dans notre stand. » - Zalou

 

            « Ce Week end fut pour moi une première tout à fait magique. C’est le genre d’expérience qui crée des liens entre les coéquipiers, et cela s’est principalement ressenti pour les A3 à qui j’ai dû dire au revoir sans savoir quand j’allais justement les revoir… Un grand merci à tous nos partenaires, et aux anciens de l’ENSMA sur place qui ont décidés de venir nous encourager un peu ! » - Laet’Slide

 

            « Merci à toute l’équipe pour nous avoir permis de participé à cette course et d’avoir été là pour assurer la bonne ambiance ! » - Lockï

 

            « Voilà, on s'est vraiment éclatés. Des souvenirs, il y en a, faites-moi confiance ! L'ambiance, la bagarre en piste, la mise en place de la stratégie, le réveil à 2h30, cette horrible sensation de froid qui a suivi, la danse de la pluie suivie deux minutes après par une averse monumentale, la discute avec les parents des coéquipiers, le tout-droit dans le sable (merci Jean Graton et son album Le caïd de Francorchamps pour le réflexe), l'intérieur à l'épingle à trois de front sous la pluie, le panneautage des coéquipiers, la bagarre des derniers tours, et puis ce relai sur piste humide, cette glisse, ce panneau "Magic Pipi", cette piste séchante et les dépassements pleine balle à l'exter qui ont du en méduser plus d'un... ENSMA'Kart, merci. Et à bientôt. » - Pipi

 

Article rédigé par Laetitia MARC (Laet’Slide)

 

Avec la participation de : Frédéric GANTOIS (Lockï), Arthur PILAVOINE (Pipi), Clément CORAS (Ginette), Kevin IGNATOWICZ (Kev), Antoine GOGUE (Zalou), Bertrand AUBERT (Bébert), Brice Delaporte, Antoine DELICOURT, Cyril BRUNON.

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